Cortinarius speciosissimus Cooke
Autre appellation
Cortinarius rubellus.
- ø : 2,5 à 8 cm - H : 5 à 10 cm
- Chapeau convexe à conicoconvexe, puis étalé et bosselé, fauve, à marge plus pâle
- Lames ocre pâle puis fauve à rouille intense
- Spores rouilles, largement elliptiques à subglobuleuses, rugueuses
- Chair jaunâtre pâle, teintée de fauve sous la cuticule et vers la base du pied
- Pied faiblement épaissi à la base, ou bulbeux, fibrilleux soyeux, de la couleur du chapeau ou plus pâle. La partie inférieure est zébrée de jaune
- Fin de l'été et automne, dans les bois humides de conifères (épicéas), dans la mousse et parmi les myrtilles

Remerciements à la Fédération Mycologique Dauphiné Savoie
Confusions possibles
Avec d'autres cortinaires.
Eléments diagnostiques et conduite à tenir
- Présence d'orellanine démontrée
- Syndrome orellanien : troubles digestifs, rémission, puis insuffisance rénale aiguë pouvant évoluer vers une insuffisance rénale chronique
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SAMU 38 - Toxicologie Clinique - CHU de Grenoble
Dernière révision : Novembre 2012